OLF : Fronsac-les-Bains

Rendez-vous à 8 h 50 ce lundi 16 septembre pour une sortie à la journée sur Fronsac.
La météo s’annonce chaude et même très chaude.
Marcel et Marie-Ange arrivent et annoncent le report d’une semaine de la sortie par mesure de précaution. La température monte. Déception … Rébellion …
“Est-ce raisonnable de marcher sous 30 ° à notre âge ?” “Oui puisqu’on est venu.”
“Allons marcher vers Majolan et pique-niquer ensemble”  “Non.”
Après discussion, 17 randonneurs partent en covoiturage sur Andernos refaire la sortie de début juillet,
Marcel, Françoise et Janine vont marcher à Majolan
et deux randonneurs rentrent chez eux.

Nous arrivons vers 10 h au port ostréicole. La marée est  … haute et il y a même une petite brise. Mais, c’est qu’on supporterait une petite laine !
Francis est désigné capitaine de sortie pour la boucle jusqu’à Arès mais en sens inverse :
aller par la plage, retour par la forêt pour profiter de l’ombre.
Sur le chemin, nous croisons de jeunes cyclotouristes bravant le soleil.

Nous rejoignons le Bassin … qui se vide : moins d’eau, moins de touristes.
Cette carte postale avec en arrière-plan une brume de chaleur appelle à la sérénité.
Le réservoir de Saint Brice est également vidé pour un nettoyage.

Nous arrivons à Arès, au niveau du chenal de Graveyron, quand Dominique et Christian croisent une connaissance. Nous faisons notre première pause ce qui permet à Philippe d’admirer les bateaux.
Nous longeons la plage, le port, les prés salés jusqu’au port ostréicole avec sa cale de mise à l’eau.
Nous prenons la photo du groupe aux pieds de La Femme Océane, statue de 4,30 m en bois du Cameroun, réalisée par Dominique Pios en 1997. Avec ses formes arrondies, elle symbolise la houle et veuille sur les marins.
Nous repartons sur Arès avec présentation par Francis du plus petit camping du Bassin, 10 emplacements.
Presque en face, la maison où vécut le peintre Paul Autin … A vous de rechercher plus d’informations.

Dans les rues d’Arès, nous croisons un point d’eau alors que certaines bouteilles sont presque vides.
De retour sur St Brice, Christine a des difficultés pour passer le pont. On ne citera pas les noms de ceux qui le font tanguer mais ce qui est sûr,  c’est que ce n’est pas la peine d’aller à la fête foraine pour s’amuser.
Pris dans leur discussion, Marie-Ange et Gilbert n’ont pas vu que Francis s’était trompé de chemin. Il faut dire qu’entre pins et fougères, ils se ressemblent tous. Et voila comment les dernières se retrouvent premières.

Dans le bois de Coulin, la fraicheur du Cirès est apprécié car la chaleur arrive, l’appétit aussi.

Il est plus de 13 heures quand nous arrivons à Andernos avec une question en tête :
y aura-t-il des tables de pique-nique disponibles à l’ombre, devant l’église, face au Bassin ?
Réponse : non …
mais un monsieur se lève et libère la table qu’il occupait seul. Avait-il fini de manger ? A-t-il été impressionné par notre groupe ? A-t-il cédé la place simplement ?
Dans tous les cas, nous apprécions mais comme tout la monde n’a pas fait suivre son siège pliant, nous occupons également un muret.
Le repas est toujours aussi convivial avec partage de produits du jardin, de la cave, de spécialités culinaires pour l’entrée ou le dessert sans parler du café porté par Maryvonne.
Reste un problème :
il n’est pas facile de répondre au téléphone dans cette bonne ambiance.

16/09/2019 :
17 randonneurs et 11 km en 3 h sur Andernos – Arès
3 randonneurs sur boucle Caychac – Majolan