OLF : Mars 2024

  • Encore et toujours de la pluie…
    Ce torrent ne descend pas d’une montagne !
    C’est lors d’une de nos randos de février dernier, autour des gravières de Parempuyre, que nous avons été arrêtés par le débordement d’un fossé.
    La force de l’eau a creusé le chemin que nous avons l’habitude d’emprunter.

    Maryse T.

  • Lundi 4 mars : Tanaïs – Didier  clap ” Première “
    La première de Didier en tant que responsable de la section des randonneurs(ses) OLF.
    Sa proposition : un parcours dans la forêt de Tanaïs, malgré les pluies abondantes de ces derniers jours. Sans nous l’avouer, il voulait nous faire “trinquer” les pieds dans l’eau ! 
    La balade fut bien plus qu’humide. Les pieds dans l’eau, nous les avons eus mais cela n’a pas entaché notre bonne humeur et sourire. Le parcours s’est terminé sous une pluie abondante en longeant les bords de chemin pour éviter les mares. Les primevères sont luxuriantes !  
    Merci aux 17 randonneuses(rs), à Didier. A Francis pour la boucle 2heures. Parcours de  7.4 km.
    Guy
  • Lundi 11 mars : La digue des marais de Blanquefort 
    L’idée du départ : faire découvrir les marais de Blanquefort sous les eaux ! 
    Le parcours s’oriente par la gare, plus facile pour ceux qui veulent effectuer une boucle de 2 heures pilotée par Francis.
    Petite pause d’observation du haut de la passerelle. Les ascenseurs sont encore en panne : bonjour les mamans avec poussette et personnes en difficulté. 
    Au rond-point des quatre ponts, le groupe se sépare : Christian prend la main, direction les marais.

    Arrivés en face de la réserve, sur la digue, il nous faut être très attentif car il y a des animaux de ferme plus ou moins en liberté. Tout se passe bien pour la re fermeture du passage.
    Le spectacle est à couper le souffle pour ceux qui le découvrent : nous sommes en pleine nature à portée de vue du centre ville, une oasis exceptionnelle dont il faut prendre soin, ce que nous faisons.
    Nous découvrons une nouvelle rupture de la digue, l’explication du lac qui s’est formé au pied de la forteresse. 
    Des vaches, moutons et chevaux sans compter les cigognes, aigrettes, mouettes et même des cygnes, nous sommes au cœur d’un patchwork de la nature, sans aucun bruit sonore de la ville, juste le cri ou le chant des oiseaux. 

    Nous effectuons la boucle jusqu’au parc de Majolan d’où la découverte du portail complétement rénové en ayant pu préserver les chapeaux d’origine de chaque pilier.
    Merci aux 10 randonneuses(rs), Francis et Christian. Parcours de  11.2 km 

    Guy 

  • Lundi 18 mars : Saint-Médard-en-Jalles, 23 randonneurs, 9 km
    Un mois après notre dernière randonnée sur Saint Médard, nous y retournons  pour effectuer la même distance mais dans le quartier de Caupian et avec 3 randonneurs en moins.
    Nous avons rejoint en covoiturage la plaine des sports de Biges pour un parcours reconnu par Denis, Eric et Francis. 
    Nous démarrons, facilement, en suivant Denis sur les larges allées d’un bois balisées avec de la peinture rouge et vert. Oui mais il y a la variante OLF et pour ça, nos Petit Poucet ont positionné des marques siglées OLF !
    Ils deviennent pros et, bien sûr, écolos :
    Denis récupère “les petits cailloux blancs”.

    Après l’automne et l’hiver humides que nous avons eus, les chemins sont encore très boueux et … il y a même du courant dans la Jalle du Guitard au-dessus de laquelle nous passons. 


    Le paysage change, notre moyenne diminue  :
    nous marchons en file indienne sur un chemin étroit, sablonneux et tortueux au milieu d’arbres sans feuillage. Petites montées et petites descentes se succèdent.
    Un jeu d’enfant pour les randonneurs qui reviennent de Condat !
    A notre premier arrêt, en bordure d’un lotissement, nous quittons vestes et polaires pour profiter du soleil.  

    Puis retour sur nos pas pour rejoindre la Jalle grâce au fil d’Ariane de Denis (normal, nous sommes dans le quartier aérospatial de Saint Médard).
    Nous descendons le cours d’eau sur la rive droite.  

    Mais que contenait la gourde de Martine ? Même pas peur de changer de rive en passant sur un tronc d’arbre mais après, de quel côté partir ? Notre équilibriste rejoint la troupe. Jacques n’en aurait pas fait autant.

    Alors que nous faisons une pause sur un petit pont, Francis propose de mener une randonnée plus courte. Nous regardons nos montres et GPS.
    Surprises : nous sommes partis depuis 2 heures et avons parcouru moins de 6 km !
     

    Finalement, tout le monde reste groupé et nous rentrons en remontant la jalle, côté rive gauche.

    Merci Denis, Eric et Francis pour cette petite randonnée dépaysante mais si près de la civilisation.

    Joëlle

  • Lundi 25 mars : les Jalles, 24 randonneurs, 12 km 600
    Didier propose de rejoindre Majolan pour faire la boucle des Jalles, la randonnée préférée de Jean-Pierre qui prend la tête du groupe sur la boucle “Parcs et châteaux”.
    Changement urbanistique : 
    un château d’eau a été démoli mais, en attendant le futur lotissement, il garde sa rue.
     

    Arrêt sur la parking de la Vacherie soit après 1 heure de marche et 4 km.
    Christian signale que Martine rentre sur Caychac en traversant Majolan pour faire une petite randonnée de 2 heures :
    5 randonneuses suivent cette proposition

    tandis que 19 randonneurs rejoignent Cantinolle en marchant sur la digue qui longe la Jalle du Taillan jusqu’à un lieu-dit bien nommé.
    Sur la parking de la casse, une Jaguar attire les regards. Trop belle encore pour monter sur le camion.   

    Retour en longeant la Jalle du Sable.
    Remerciements au conducteur d’une voiture qui la gare pour nous laisser passer.
    Daniel compatit pour ses nombreux “de rien” …
    Après le Moulin Blanc, nous échangeons quelques mots avec des randonneuses de St Médard croisées près de Majolan.
    Petite pause face à l’ile aux oiseaux.
    “Nous voyageons grâce aux paysages” dit Jean-Pierre “le Japon avec les arbres en fleur mais la prairie blanche n’est pas la neige des Pyrénées”.

    Nous contournons les ruines et le plan d’eau pour quitter le parc de Majolan par la porte nord enfin réparée et même presque refaite à neuf.
    L’accès aux vignes n’étant pas autorisé pour cause d’éco-pâturage, nous rejoignons Dulamon par une portion de l’avenue du Général de Gaulle.
    Tandis que Daniel nous quitte, nous traversons le parc pour rejoindre le boulevard Victor Hugo direction la rue Pasteur et Dillon.
    Nous arrivons, enfin, à Caychac vers 17 h après 12 km 500.  

    Merci Messieurs les capitaines.


    Joëlle

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