- Lundi 8 janvier 2024 : Le Pian, 34 randonneurs, 10 km
1er lundi de l’année : la foule !
Record de participation avec 34 randonneurs, malgré le froid ! Pour une fois qu’il ne pleut pas, profitons de l’après-midi pour éliminer les éventuels excès des fêtes.
Après concertation des gilets jaunes, Chantal nous mènera dans Le Pian. Francis ramènera les marcheurs qui ne souhaitent faire que 2 heures et en particulier Annie et Paule qui reprennent.
Après avoir traversé le lotissement du Queyron, nous rejoignons la rue des Marnières qui se termine par un chemin très, très humide.
L’allure ralentit. Il faut regarder où mettre les pieds mais les semelles se plombent.
Il faut également regarder vers le haut pour éviter les branches.
Merci à Chantal qui signale et intervient pour limiter les accrochages.
Après avoir suivi le “chemin frontière” entre les deux communes, nous atteignons un bois du Pian où nous faisons une première pause boisson agrémentée, entre autres, de chocolats offerts par Eric et, peut-être plus diététiques, des abricots secs par Marie-Ange.
Comme nous marchons depuis 1 heure, Francis propose de prendre à gauche pour la petite randonnée.
“Son groupe” est formé de 7 randonneurs mais sans Paule.
Au bout du chemin du Petit Poujeau, nous atteignons le bois aux multiples épreuves sportives : descente, pont, montée.
Le sol est boueux et très glissant. Nous avançons avec précaution, ce qui n’empêche pas quelques glissades et chutes malgré l’appui de nombreux bras tendus.Nous arrivons à la clairière également très humide. La troupe s’étire, chacun recherchant des touffes d’herbes pour ne pas marcher dans l’eau.
Par contre, les sangliers ont dû trouver leur bonheur dans les fossés.
De retour sur la terre ferme, nous apprécions les gâteaux maison de Maître Denis et de Jean-Louis.
Pendant ce temps, loin de la grisaille,
Nous passons devant l’école des Airials à l’heure de la sortie et rejoignons l’église de Caychac à 16 h 45 après avoir parcouru 10 km !
Oui mais avec les difficultés rencontrées ils en valent beaucoup plus.
Merci à Chantal et à tous pour cette marche solidaire.
Marcel et Marie-Hélène nous adressent un bonjour des Pyrénées.
- Jeudi 11 janvier : la petite rando de Parempuyre
Petite rando de 7,700 km, petit groupe 7 mais nous sommes curieux de voir la nature après cette petite neige. Dans la “ferme solaire”, nous apercevons des moutons. Normal, la “ferme”.
Un peu plus loin, un spectacle rare : un “grand cormoran” faisant sécher ses ailes. Gd Cormoran
Au retour, le train “sifflera 3 fois” …
Merci à Didier, important, il nous a proposé le tour du lac en sens inverse. Le paysage est plus visuel et avec le cormoran, s’il vous plaît !
(article de Guy)
- Lundi 22 janvier : ponts de Bordeaux, 23 randonneurs, 8 km
Nous sommes 20 au rendez-vous de la gare de Blanquefort.
Pris dans les discussions, nous laissons partir un premier tram.
Appel de Denis inquiet à la station Frankton : pas de randonneur dans le tram !
Un quart d’heure plus tard, nous sommes 23 randonneurs bien installés, au sec, en fin de tram.
Il est presque 14 heures quand nous arrivons place de la Bourse.
Il y a ceux qui vont faire la boucle des 3 ponts avec Christian et ceux qui vont faire celle des 2 ponts avec Francis. Plus courte, elle permettra de rentrer sur Blanquefort avant l’affluence dans le tram.
Tandis que Guy part faire une course, nous partons vers le pont de pierre.
Réflexions des animateurs :
nous allons nous séparer dans 1 km aussi changement de sens et direction le pont Chaban pour marcher 7 km ensemble.
La bruine s’épaissit, on aperçoit au loin le pont dans la grisaille.
Tandis que Denis fait un achat dans un magasin de chocolats, nous apprécions de nous abriter au plus près des hangars.
Rive droite, la pluie s’intensifie et nous croisons Guy marchant à vive allure pour nous rattraper !
Après une heure de marche, pas des plus agréables, passant devant Darwin, Christian, Francis et Denis proposent d’y faire une pause pour discuter de la suite de la randonnée.
Surprise ! Un printemps de plus pour Myriam ” Bon anniversaire “
Non seulement Denis a fait des petits gâteaux et acheté des chocolats mais ils offrent des boissons chaudes !
Après discussions, la randonnée ne sera que de 2 ponts.
Quand nous ressortons, après avoir un peu séché, il ne pleut plus. Trop fort ce Denis !Que de découvertes rive droite !
Nous traversons le puits sans toucher le fond.
Nous croisons des citoyens de la République des Océans et des Mers.
Avant de passer le pont de pierre, Christian promet LA randonnée avec le 3ème pont sous un ciel plus clément, au printemps, quand les quais jusqu’au pont Saint Jean seront en fleur.
Jeu des 7 erreurs avant de reprendre le tram aux Quinconces.
Mais, qui sont les 2 randonneurs qui ont quitté les rangs incognito ? (info sms, ca marche !!)Merci Christian et Francis, nos capitaines de sortie qui ne gèrent pas (encore) la météo.
Merci Denis et Myriam pour cet anniversaire surprise.
(Article avec participation photographique de Guy et Jean-Marc) - Lundi 29 janvier : Tanaïs, 28 randonneurs, 12 km
Guy nous propose une randonnée du coté du Taillan avec possibilité de bifurquer dans la forêt de Tanaïs pour le groupe des 2 heures. Malgré un départ rapide, Clara réussit à nous rejoindre en bas de la rue du Pigeonnay.
Avant Dillon, sous prétexte de compter le groupe, nous faisons une petite pose photo dans la bonne humeur, le beau temps nous y incite. Au faite, combien sommes-nous ?
25, non 27, 28 semble être le bon chiffre.
Le lycée viticole de Dillon est train de s’équiper d’une serre de grande dimension.
Plus loin, les travaux d’un nouveau lotissement commencent mais, heureusement, notre sentier sera préservé.
Arrivée sur Le Taillan, nous empruntons le chemin des bambous avec son tapis automnal de feuilles de chêne.
Après 40 minutes de marche, nous nous octroyons une petite pause boisson, dégustation (merci Didier pour les graines) et discussions.
Au point de bifurcation pour les groupes, Francis prend la main et indique qu’ils allaient rentrer par le “chemin des amoureux”. Merci Francis.
Le groupe est constitué de 7 randonneurs dont plusieurs ex-responsables de la section OLF.
Guy veut nous sensibiliser à la beauté du chemin que nous allons découvrir, préservé, sans voiture.
Et oui, il faut le savoir lorsque vous voyez une barrière fermée … vous n’êtes pas à Blanquefort.
Là, nous sommes au Taillan-Médoc : barrière robuste en bois, fermeture triangulaire.
Chemin faisant, la nature démontre l’adage : “on a souvent besoin d’un plus petit que soi”.A la pause suivante, Didier est content de retrouver son bâton de marche oublié précédemment. Merci à Marilyse qui lui a porté tout ce temps.
Mais, où sommes-nous ? Facile, à Blanquefort.
Les barrières en métal sont “infermables” d’où une voie royale pour les véhicules, ceux-ci creusant de gigantesques cuvettes qui se transforment en mares.
Tiens, voici deux 4/4 qui arrivent. Un conducteur nous adresse un sourire de courtoisie, sa remorque pleine de bois !!
Pour terminer sur une note plus poétique ou plus respectueuse de la biodiversité, nous faisons une haie d’honneur au passage de deux cavalières également souriantes.
Merci aux participants pour cette belle randonnée presque “estivale” alors que nous sommes en janvier.
(article Guy et Joëlle)
MONJARET VANNEAU JOELLE says:
Bravo et merci pour ces beaux reportages