OLF : Ayen, lundi après-midi

Nous rejoignons, en voiture, la coopérative des Coteaux de la Vézère à Allassac.
Vers 1880, la vigne a disparu de la Corrèze pour cause de phylloxéra.
Un siècle plus tard, son retour est amorcé et en 2003, une poignée de viticulteurs crée la cave des Coteaux de la Vézère.
Sur les coteaux schisteux, ils replantent. Pour le vin blanc, il choisisse un cépage inédit dans la région mais connu en Val de Loire : le chenin.
Jean-Pierre fait partie de ces viticulteurs. Il nous fait découvrir l’histoire et la vie de sa cave.

Après la théorie, la pratique déclinée en blanc, rosé et rouge.
On examine, on remue le verre.
On sent, on remue le verre.
On prend une petite gorgée, on la fait circuler et on crache
car l’abus d’alcool est dangereux pour la santé.
On charge les cartons dans les voitures. Il est 16 heures, la troupe se sépare.

Une voiture avec 4 randonneurs rentre directement à Ayen où la piscine aide à récupérer.
Une voiture fait un arrêt au Puy d’Yssandon :
Michel, Nicole, Gérard et Josette découvrent une table d’orientation avec panorama sur l’Auvergne et le Périgord, puis le village d’Yssandon et son église du XII siècle avec clocher-mur et portail du XVIII. (reportage de Nicole)

Jean-Pierre guide les 2 dernières voitures dans Saillant-Vieux pour rejoindre une portion du GR 46 prés d’un pont de chemin de fer, direction le Cirque du Saillant. Une demi-heure de montée dans les bois avec arrêt pour reprendre le souffle et nous (les dames en premiers !) débouchons sur la route, lieu-dit La Chartroulle, d’où nous avons une vue magnifique sur le Cirque. La route est à nous mais pas les artichauts, bien sûr. Nestor, jeune chien, est content de se joindre à nous et sa propriétaire a beaucoup de mal pour le ramener à la maison

Nous quittons la route pour prendre un chemin à travers vignes et cerisiers. Nous arrivons à flanc de coteaux et descendons dans le vignoble de la cave travaillé en terrasses.
Mais que c’est beau !

En bas des coteaux, nous traversons les  vergers de la cave : pommiers, poiriers, rangs de pêchers et de brugnoniers intercalés. Si c’est par terre, on peut manger ?
En plus, il y a des fraises de bois sur les talus. Que c’est bon !

4,5 km en 1 h 45
Retour à Ayen où tout le monde se retrouve  pour échanger sur la journée.

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