OLF : Le Teich

Lundi 21 juin 2021, 8 h 10, gare de Blanquefort,
Martine, notre responsable de section, fait l’appel des 21 randonneurs inscrits pour une journée de marche sur le Bassin.
Tous présents plus 1 !
Petit grain de sable dans l’organisation vite oublié car Francis, en bon capitaine de sortie, avait fixé l’heure du rendez-vous assez tôt ce qui laisse le temps d’acheter le billet manquant.
Donc 22 voyageurs sur les quais de Blanquefort, de la gare St Jean et à l’arrivée au Teich.
Pas de perte dans les manœuvres. 

Nous prenons la route qui longe la voie ferrée en direction de Gujan-Mestras pour rejoindre le Sentier du Littoral au niveau du Moulin de Cantarrane (chante grenouille) : le vent ne peut plus le faire tourner et personne n’a chanté.

La marée est basse. Le chemin, humide, passe au milieu de prés salés du delta de la Leyre où l’homme a aménagé digues et écluses.  Nous contournons la réserve ornithologique.

Vers 11 h, après avoir dépassé la pointe, une petite plage nous tend les bateaux pour une pause avec découverte des spécialités bretonnes de Christiane. 

Nous repartons pour terminer au port cette marche matinale de 7 km.
Les choses sérieuses peuvent commencer. Justement, il y a des tables de pique-nique. 

Tandis que certains se préparent pour repartir, Philippe ne veut pas quitter la table sans fêter la Fête de la Musique, 21 juin oblige.
Et c’est parti pour une longue chanson du temps où il était jeune feytare.
Pour jouer local, Sylvie, notre Madelon, continue avec “La Chanson du Bassin”. 
Pour terminer, Gérard V. nous fait écouter “Le chasseur au grand cœur”. 
 

Alors que le vent se lève, nous suivons la belle promenade en bois qui nous mène au … pont de singe.
Où des retraités ?
Mais où sont les parents ?
En effet, il faut se tenir car il bouge beaucoup. 

Pour l’après-midi, Francis a repéré une boucle de 6 km qui commence par l’ombre de la forêt où nous découvrons un arbre lyre, des sièges pour récupérer et un point d’eau . 
Puis nous longeons la l’Eyre, d’abord cachée, avec sa couleur rouille et son côté sauvage qui lui vaut le surnom de “Petite Amazone”.

Nous la traversons cette fois sur un pont stable qui nous permet de faire la photo de groupe.
Malgré le ruban de balisage, nous continuons le chemin mais il faut faire attention car plus loin, c’est vraiment le chantier : les planches ne sont pas clouées.

De retour au port où le vent souffle toujours, nous avons le temps de récupérer avant de retourner à la gare … en repassant par le pont de singe !
Cette fois, le changement de train se fait à Pessac pour une arrivée, sans bouchon, à 17 h 22 en gare de Blanquefort.

Merci à Francis, notre capitaine de sortie.
Merci à Martine, la co-organisatrice.

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