OLF : bois et lac de Bordeaux

Nous partîmes 28 mais par un prompt renfort, nous nous vîmes 29 en arrivant au bois !
A la Réserve écologique des Barails pour être plus précis à savoir le bois de Bordeaux, le Parc Floral, des prairies et des zones humides.
Pour entrer et sortir de cette zone clôturée, nous passons par des barrières sélectives qui permettent de vérifier que nous avons gardé la taille de notre jeunesse ou presque.

Après un quart d’heure de marche, nous sommes rejoints par Pascal tout content de nous retrouver après avoir raté le départ de Caychac et choisi le mauvais parking.
En contournant un plan d’eau, nous observons un héron sur son ile alors que nous ne sommes qu’à 1,5 km du centre de Bordeaux !


Au croisement suivant, nous entrons dans le parc floral.
Petite pause avant de remonter vers « la source » du torrent presque à sec.


Nous quittons la nature pour rejoindre la ville : le stade, le vélodrome, la centrale photovoltaïque, la foire, les hôtels …
Nous longeons les rives du lac et empruntons le pont du tram qui enjambe la rocade.
A notre gauche, la ville et les immeubles modernes du quartier Ginko,
à notre droite, le lac et les voiliers et …. de l’habitat insalubre provisoire. Tout n’est pas bleu.

Nouvelle pause à la plage du lac où il y a des bancs et une aire de jeux pour les 7 – 12 ans.
Michel a 7 dans son âge. Il peut pratiquer un sport extrême mais doit encore travailler la réception. Pendant ce temps, Joëlle et Jean-Louis voient le bout du tunnel.

Nous reprenons notre marche en passant par un parcours sportif.
Deux ressorts jambe gauche, deux ressorts jambe droite : Philippe, notre capitaine de sortie, nous fait une démo de l’échauffement tandis que Gérard cherche des explications pour tester les barres parallèles.

Nous passons auprès de Neptunéa, un refuge périurbain, puis sous la rocade. La marée est haute. Les chaussures imperméables sont appréciées. Bien que l’accès soit interdit aux vélos pendant le chantier, un cycliste nous croise en poussant de grands cris en guise de sonnette.
Dernier arrêt au parking de la foire : mais non Gérard, nous ne payerons pas de péage pour continuer notre route.

Merci à notre capitaine de sortie Philippe.
10,6 km  (plus pour Pascal qui doit repartir vers la Roseraie),
4,2 km/h sans les arrêts,
3,8 km/h avec les arrêts (GPS officiel de Gérard).

 

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