OLF : septembre, il faut reprendre …

  • Lundi 3 septembre 2018 : Blanquefort
  • Lundi 10 septembre 2018 : Budos, 7 randonneurs, 15 km

    (voir article spécifique de Marie-Ange)

  •  Lundi 10 septembre : Majolan, 9 randonneurs, 10 km
    Il flotte comme un air de reprise au lavoir de Caychac :
    16 randonneurs sont présents à 9 heures.
    Ça discute, ça négocie car qui dit reprise dit manque de km dans les mollets.
    La répartition finale est de
    7 randonneurs (oui parce qu’il y a 1 homme) pour un départ en voiture pour la randonnée à la journée autour de Budos et
    9 randonneurs pour attaquer la randonnée matinale vers de Majolan.
    Tandis que les vendangeurs s’affairent et observent les vignes de Dillon, nous, nous regrettons l’état du château en ruine. Une façade résiste mais jusqu’à quand ?

    En cours de chemin, Henri et Cathy nous narrent l’histoire du Taste Claouey sauvé des herbes par le comité de quartier Majolinas.

    Il semblerait qu’il y ait également de quoi faire dans les fossés de Majolan.
    Nous restons groupés à l’ombre des arbres avant de dire :
    Au revoir Henri, bonne route Philippe, ah Michel et Nicole vous habitez là.
    “Un véritable omnibus” dit Cathy.

  • Lundi 17 septembre : Tanaïs – Le Pian, 14 randonneurs, 10 km
    Tant que l’Europe n’intervient pas, nous restons à l’heure d’été :
    marche le matin car le soleil et la chaleur sont toujours présents.
    L’ombre de Tanaïs est apprécié ainsi que les arrêts boisson-ravitaillement-discussion.
    Retour en enfance pour certaines grâce aux Chamallows bio (?) proposés par Marie-Ange avant que la discussion ne glisse sur la peau de banane :
    à composter ou couper en petits morceaux pour faire de l’engrais au pied des rosiers.
    Nous avons bien fait de venir marcher !

    Philippe trouve une balle orange dans les fourrés.
    Aussitôt ces messieurs accélèrent le pas pour taper dans “le ballon”.
    Ce n’est qu’en même pas un retour en enfance pour eux !

  • Lundi 24 septembre : Le Pian, 20 randonneurs, 12 km
    Randonneurs blanquefortais égarés dans la jungle pianaise !
    En ce premier lundi d’automne, Francis propose de rejoindre le centre du Pian en covoiturage pour une petite boucle démarrant à la salle des fêtes.
    Ah, cette salle … Elle fut un temps centre d’accueil et de loisirs bordelais.
    Visiblement de bons souvenirs pour le moniteur Daniel qui en rit encore.
    Départ à 9 h 15. Nous cheminons en limite de Blanquefort sur de petits chemins et routes.

    Vers 11 h, nous trouvons de l’ombre dans un bois aux couleurs et odeurs automnales mais pas de champignons car il fait toujours chaud et sec.
    Nous empruntons le circuit de VTT.
    A 11 h 45, nous arrivons sur un pont :
    “La Jalle de Ludon, votre récompense” dit Francis.

    Petite pause discussion avant de suivre les méandres de la rivière.
    Nous apprécions la fraîcheur et le calme juste troublé par 2 chiens qui aboient à notre passage depuis l’autre côté d’un petit pont en bois.
    Le chemin devient sentier, la végétation reprend sa place.
    On demande sa machette au capitaine de sortie …

    L’inquiétude se lit sur les visages : il n’y a plus de chemin.
    Francis part en éclaireur vers la droite, vers la gauche …
    Il faut revenir en arrière, peut-être jusqu’à un grillage que nous avons enjambé ?
    Les GPS et téléphones sortent.
    Il parait que nous sommes à 500 m des voitures … à vol d’oiseaux.
    Gérard demande à ce qu’on avertisse l’EHPAD que nous serons en retard pour le déjeuner.
    Henri, à Blanquefort, propose d’alerter la gendarmerie.

    Le grillage est retrouvé, longé mais les taillis s’épaississent.
    Nouveau changement de direction.
    Nous retrouvons les chiens et leur propriétaire qui nous indique le bon chemin. Nous avions manqué une tournée et sommes sur une propriété privée.

    Ah, ça va mieux. Francis retrouve le sourire et son pas décidé.
    Cette fois, nous longeons la clôture du bon coté. A 12 h 15, nous retrouvons la route.

    A l’entrée du Pian, Francis propose de rejoindre directement le parking par la route ou de suivre à nouveau la Jalle.
    Du fait des contraintes horaires de chacun, la troupe se divise :
    un groupe mené par Marcel continue par la route,
    un groupe mené par Francis longe la rivière.

    Merci Francis pour cette première !

 

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