OLF : Randonner en Février

  • Lundi 5 février 2018 : tour de Parempuyre, 28 randonneurs, 11,5 km
    Départ du lavoir de Caychac en voiture pour Parempuyre, sortie proposée par Annie.
    Départ du parcours santé du Bois d’Arboudeau pour une boucle qui emprunte la piste cyclable puis, direction l’est, le trottoir avec d’un côté la ville, de l’autre les vignes du Château Pichon.

Virage à gauche : nous quittons la route et la civilisation pour marcher en lisière des gravières du Bourrail du Bouna.

Nous coupons la rue des Palus pour rejoindre le chemin du Bois de Lartigue. Annie avait annoncé des passages humides. Nous y sommes.

Même pas peur d’un obstacle sur le chemin : par dessus, par-dessous, la troupe avance.
Guy nous fait remarquer un ancien lavoir … à n’utiliser que pour des vêtements verts !
Nous longeons les vignes du Château Ségur, faisons le tour du lotissement La Lisière du Vignoble avec un arrêt pour regroupement car la troupe est étirée.
Qui a dit “D’habitude, elle marche en parlant. Là, elle parle en marchant.” ?

Nous traversons la route de Macau pour rejoindre un chemin rural qui longe la voie de chemin de fer et nous amène rue de Bel Air, puis rue des Compagnons de l’Abbé Pierre.
Pas le temps de faire un dépôt ou un achat chez Emmaüs !
Tour d’un lac des gravières d’Arboudeau avec notre dernière pause : informations sur les prochains séjours et thé toujours chaud pour Martine.
Revoici la piste cyclable, le Château Clément-Pichon, la route de Bordeaux mais d’abord de Blanquefort !

  • Lundi 12 février 2018 : Tanaïs, 29 randonneurs, 12 km
    Malgré les petits-enfants à garder, nous sommes 29 pour randonner sous un ciel bleu (enfin !)  en cette première semaine de vacances scolaires avec Gérard dans le rôle de capitaine de sortie.
    Nous traversons les vignes de château Dillon pour rejoindre la rue de Linas et entrer dans Tanaïs par une allée sèche … au départ. Attention aux chutes !
    Gérard utilise son bâton pour nous ouvrir le chemin ou pour prendre appui et vérifier que tout le monde récupère.

    Nous arrivons au Pian par les Airials dont la cour d’école, désertée par les élèves, est en travaux. Nous faisons le tour du lac avec un arrêt pour admirer les cygnes. Michel serait-il un intrus ?


    Après une pause boisson, (si, si, nous avons chaud) nous repartons pour une nouvelle boucle dans Tanaïs à la recherche des animaux sauvages.
    D’accord, ceux-là sont plutôt domestiques mais le mimosa, lui, est sauvage.
  • Jeudi 15 février : Blanquefort, 9 randonneurs, 8,6 km
    Nous étions neuf, tout neufs, à 9 h 30 au lavoir.
    Rien d’exceptionnel. Et pourtant ! Cette sortie restera  remarquable.
    Pour une fois, foin de parité, nous étions 7 hommes et 2 femmes au rdv ! Hé oui !
    Il paraîtrait que les grands-mères du groupe OLF, comme toutes leurs consoeurs, auraient en charge la garde des petits enfants durant les vacances et assumeraient cette tâche consciencieusement … alors que les grands pères pourraient librement vaquer à leurs occupations et rentrer après la rando se mettre les pieds sous la table !
    Rumeur !
    Fake news !!
    On demande un fact-checking (regardez dans le dico ) !
    Toujours est-il que Myriam et Marie Hélène ont profité d’une garde rapprochée tout au long de nos 8,6 km qui nous ont conduits sous l’autorité incontestée de Marcel, vers Blanquefort, Curégan et retour. Une adaptation du chemin balisé.
    Temps clément sous les nuages avec quelques éclaircies.
    Ces dames ne semblent pas avoir souffert des sujets de conversations.
    NB : ce compte-rendu est court car on a marché très vite.
    Gérard C.

     

  • Lundi 26 février 2018 : Le Pian-Médoc, 25 randonneurs, 11,2 km
    Une première : nous allons au Pian en covoiturage !
    sauf si on lit mal le lieu du rendez-vous noté sur l’agenda et le message de rappel.
    Le départ réel de la randonnée est donné au skate Park du Pian sous un ciel bleu mais froid.
    Aujourd’hui, pour attirer l’œil des automobilistes, le gilet jaune de fin de la troupe est orange mais il sera vite rangé car nous marcherons peu sur route.

    Nous ne risquons pas d’être tirés comme du gibier car le bruit des conversations nous annonce et … la chasse est actuellement fermée dit Gérard V., le chasseur.
    Il nous a préparé un véritable jeu de pistes :
    la 10 Grande Passe, la 11 Chemin Meunier, la 14 Pas Martin …
    Nous randonnons sur Le Pian, Arsac et Macau. Ah, qu’en même !

    Inquiétude au premier poteau d’orientation trouvé à un carrefour :
    nous avons déjà parcouru plus de 8 km et Le Pian est indiqué à 6,6 km !
    Discussions : ouf, nous ne sommes pas garés à la mairie du Pian, point zéro.
    Le Pian “Bourg” est indiqué à 4,8 km.
    “Arrivée au bout de cette ligne droite” précise Gérard V..
    Le froid est toujours là, l’eau des fossés est encore gelée.

    Mais que regardent ils ? Arrêt nature proposé par Gérard V.
    Un sanglier est passé par ici. Il repassera par là.
    Ils viennent se baigner dans ces trous remplis d’eau puis vont se frotter contre cette souche.


    Et bien nous, nous rejoignons les voiture,
    direction la douche avant le départ pour Mars …. cela Repart…!!

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